Treibladung = charge propulsive, subsistante.
Hauptlzdung = charge principale, subsistante.
Bris d'étuis d'obus de 2 cm pour canons Flak 30 ou 38 fortement
utilisés durant la seconde guerre mondiale dans les batteries anti-aériennes
légères ou en complément d'une batterie antiaérienne de canons de 8.8cm,
10.5 cm... Dans le cas présent, ces deux douilles ont été retrouvées proches
de deux positions de canons de 2cm Flak 38 installés en protection d'un
radar. Canons légers antiaériens pour tirs rapprochés sur avions en piqués.
Les étuis peuvent être en cuivre, en acier-cuivre, en acier. Les munitions
même petites, abîmées, sont dangereuses.
Obus et balles en cuivre.
La plage de Kersiguenou en presqu'île de Crozon est l'exemple
des plages souillées par la seconde guerre mondiale bien que des séances
de déminage aient eu lieu après guerre, il subsiste des indices de l'occupation
allemande. Des tétraèdres en béton oubliés, des munitions historiques
abandonnées dans une grotte. Vraisemblablement réunies pour tenter de
les faire exploser dans une inconséquence absolue puis abandonnées dans
des sources ferrugineuses, ces munitions antichars et de mitrailleuses
sont serties dans un conglomérat de graviers et d'oxyde de fer. Il y avait
en haut de la falaise un poste de défense allemand ainsi qu'un peu plus
loin un tobruk à tourelle de char pouvant éventuellement utiliser ce type
de munitions.
Les munitions rouillées restent dangereuses et provoquent des mutilations
dans le meilleur des cas. Prévenez la gendarmerie.
Un obus de la Seconde Guerre Mondiale. L:32cm Ø:150mm ou 155mm.
La rade de Brest*, la Presqu'île de Crozon ont gardé les stigmates de la seconde guerre mondiale. Parmi les mauvais souvenirs qui refont surface régulièrement ce sont les obus non explosés. Un promeneur peut se retrouver nez à nez avec des objets suspects qu'il ne faut surtout pas manipuler. Ils peuvent être parfaitement inoffensifs (inerte) ou particulièrement dangereux. L'idéal est de faire des photos des lieux des trouvailles avec son smartphone par exemple puis, dans les meilleurs délais prévenir la gendarmerie. Une équipe de démineurs viendra analyser la situation et dans le doute pétardera (dynamiter) l'obus.
La fâcheuse tendance des obus oubliés par les guerres est de se nicher entre les rochers dans des lieux fréquentés par les touristes et les promeneurs locaux. Le signalement à la gendarmerie est un service que vous rendez à la communauté.
Recherche visuelle et découverte d'un obus non tiré par des plongeurs démineurs de la Marine Nationale. Les parages sont aussi visités. En cas de doute, le repérage se fait aussi au détecteur de métaux.
Dégager les alentours de la munition pour apprécier la situation et évaluer la dangerosité immédiate.
Les marins démineurs sont venus par la mer et repartent par la mer.
Au large, le navire école "Panthère".
Les plongeurs démineurs de la Marine Nationale en Rade
de Brest et alentours font un travail minutieux qui peut parfois s'apparenter
à du bricolage astucieux pour déjouer les pièges des munitions retrouvées.
Brest, port avant tout militaire durant des siècles, a été sous surveillance
intense de la part des batteries côtières françaises et malheureusement
allemandes lors de la seconde guerre mondiale. Les fonds marins recèlent
des obus de tous calibres, des mines, des torpilles... Sous les eaux,
à des profondeurs variables (recherche jusqu'à -80 m) mais aussi en bordure
de mer, parmi les rochers, dans des lieux de promenade.
Ce jour là, au programme un obus non tiré est retrouvé dans les rochers
au pied de la batterie de Kerbonn en Camaret-sur-Mer en presqu'île de
Crozon. C'est un obus de 164,7 mm au service de canons français.
La batterie de Kerbonn sous 4 casemates SK allemandes était équipée de
4 canons de la marine française de 164,7 mm Mdl. 1893-1896 et d'un important
stock de munitions dédiées.
L'obus pourrait avoir été jeté du haut de la falaise sans avoir explosé.
Les plongeurs qui travaillent en binôme ont estimés que l'obus n'était
plus hautement dangereux. Dangereux, il eut été pétardé sur place (dynamité).
La poudre noire contenue dans l'obus dans des conditions d'immersion prolongée
n'est plus active (depuis 1944). L'obus s'est soudé par la rouille à son
support, un caillou ? Un autre obus ?... Les plongeurs démineurs vont
devoir s'affairer avec prudence pour emporter l'indésirable.
Rien qui ne soit spectaculaire et pour autant un danger sournois bien
réel. Un métier difficile fait de petits exploits personnels quotidiens.
Des militaires qui font encore la guerre aux dangers en temps de paix.
La préparation d'un pétardage s'accompagne de déterminations des zones à risque des munitions dans leurs localisations puis dans leurs déplacements. Une zone de 700 m excluant toute présence humaine. Une zone de 700 à 2000 m dans laquelle seule la navigation de surface est tolérée.
Brest a subi 165 bombardements (960 morts et 740 blessés
graves) en 4 années de la seconde guerre mondiale. Durant la phase de
la libération, entre le 7 août et le 18 septembre 1944, 30 000 bombes
et 100 000 obus ont atteint la ville et les alentours, soit la presqu'île
de Crozon pour part.
En 2014, le GPD Atlantique a traité plus de 430 munitions historiques
en rade de Brest. Les années passent et la collecte se poursuit...
Obus, bombes, mines et torpilles jonchent les fonds marins de la Rade
de Brest et des alentours, un vrai dépotoir. Tous les projectiles, qu'ils
proviennent de l'aviation, de la marine, ou de l'armée de terre, que ce
soit de l'armée française ou allemande, que ce soit du 19ème siècle ou
du 20ème, n'explosent pas lors des impacts. Les mécanismes de mise à feu
(parfois double) s'enrayent et transforment l'engin en objet inerte avec
le temps. La rouille et des concrétions naturelles recouvrent les projectiles.
Le risque d'explosion subsiste, surtout les munitions historiques de la
seconde guerre mondiale. La destruction par les démineurs de la Marine
est le meilleur remède de sécurité.
Projectiles défaillants, ou jetés négligemment, voire oubliés...
L'armée française, de ses positions côtières, faisaient des essais de
tir de la presqu’île vers des îlots déserts proches. Tous les obus n'explosaient
pas et se retrouvaient en milieu naturel ballottés par la mer. Les tempêtes
modifiant les fonds marins, ensablent et désensablent des munitions.
Il y a aussi la venue allemande en presqu'île de Crozon durant laquelle
l'armée française a jeté du haut des falaises des stocks de munitions
de ses batteries côtières opérationnelles. Lors de la déroute de 1944,
les Allemands en feront autant.
La défense des plages par des mines et obus fixés sur des tétraèdres pour
cause de mur de l'atlantique...
Enfin les pluies de torpilles, mines et bombes tombées du ciel par l'entremise
de la RAF et de l'US Air Force, tout n'explosa pas.
Après guerre, bien qu'il y eut des missions de déminage par des soldats
Allemands prisonniers (entre autres), des recoins de la presqu'île ayant
été oubliés, des munitions sont laissées sur place tel qu'à Fort Robert
dont le stock de 1500 munitions de 40mm allemandes de la batterie antiaérienne
Cr334, a été détruit en 2007.
Quelques exemples de munitions historiques :
• 22 janvier 2002 : pétardage d'une vingtaine d'obus de gros
calibres issus du fort des Capucins.
• Janvier 2007 : 56 mines antipersonnel découvertes et neutralisées
plage de l'Aber.
• Mars 2007 : 3 mines plage de l'Aber.
• Mars 2008 : 6 mines plage de l'Aber.
• Janvier 2009 : 2 mines plage de l'Aber.
• 2009 : Crozon – deux obus de mortier trouvés par un
engin agricole.
• Du 11 au 20 mai 2009 : destruction par trois démineurs de
37 mines bondissantes allemandes susceptibles de projeter des billes d'acier
hautement dangereuses sur la plage de l'Aber. Le pétardage a envoyé les
billes dans le décor !
• Avril 2010 : un obus de mortier et un obus classique pétardé
sur place, sur la plage de la Palue, par des plongeurs démineurs.
• 20 mai 2011 : un obus de 240mm intransportable est pétardé.
Périmètre de sécurité maritime d'1,5km et périmètre de sécurité terrestre
d'1 km qui entraine le confinement de 20 habitants de la zone.
• Mai 2012 : Obus sur la plage de Morgat. Déplacé au large
à 300m, il est pétardé sans mesure de sécurité particulière avec 1kg de
plastic.
• Octobre 2012 : un obus de 45 cm de la première guerre mondiale
est trouvé sur une zone de travaux paysagers à Lanvéoc lors d'un creusement
d'une tranchée par une pelleteuse.
• 12 janvier 2014 : pétardage de 7 mines bondissantes allemandes
à Pen Hat.
• 31 mars 2015 : Des plongeurs militaires du chasseur de mines
Eridan en exercice trouvent près de l’Anse de l’Auberlac’h une mine de
fond anglaise de type MK 9 courant février. 30 mars, la mine est déplacée
par des ballons à air au milieu de la rade. Les démineurs du Styx, le
31, ont posé une petite charge sur la mine déposée sur un banc de sable
à 20 mètres de profondeur. Déclenchement à partir d'une embarquation pneumatique
à 200 m de distance grâce à un cordon de mise à feu. L'approche s'est
faite avec une CRABE (Complete Range Apparatus Breathing Equipment). Un
équipement que chacun des deux démineurs portaient pour limiter les effets
acoustique et magnétique déclencheurs.
• 21 septembre 2015 : pétardage au large d'une bombe de 600kg
provenant de l'anse de Camaret au petit Gouin.
• 21 juin 2016 : pétardage d'un obus français de 80mm de la
seconde guerre mondiale sur la plage de Kersiguenou.
• Février-mars 2017 : des obus ont été découverts dans le Goulet
de Brest à proximité du rocher
du Mengant et de la côte de Roscanvel à 30 mètres de profondeur. Le
déplacement s'est fait dans des sacs de chantier soulevés par des réserves
d'air (vaches à air) puis déplacés jusque dans une zone de contre-minage
de la rade de Brest. Les projectiles furent redisposés en deux tas au
fond de la mer et explosés par une charge explosive chacun. Opération
menée par les marins du chasseur de mines « L'Aigle ». Cette zone du Goulet,
depuis toujours, a été ultra-militarisée par des batteries côtières, des
dispositifs sous-marins plus ou moins sophistiqués. Cette fois ce fut
33 obus essentiellement de 150mm, 1de 180mm, 2 de 320mm. Certains obus
anciens (français) ne contenaient pas de charges explosives tout simplement
parce que le procédé n'existait pas à l'époque de leur fabrication (fin
19ème siècle) par contre les plus récents (allemands) en disposaient.
• 7 juillet 2017 : le chasseur de mines tripartite "Sagittaire"
procéde à la destruction d’une mine Mark 9 (MK 9 - MK IX). La mine de
la seconde guerre mondiale gisait par 32 mètres de fond au milieu de la
baie de Douarnenez.
• 16 juillet 2018 : découverte par un club de plongée d'une
mine de fond anglaise de type MK à 6m de profondeur au large de la plage
du Corréjou en Camaret-sur-Mer. Les plongeurs du CMT Céphée, chasseur
de mines, basé à Brest en ont fait les repérages.
• 29 mars 2019 : pétardage d'une bombe américaine de 500 livres
trouvée sur une grève en bas de la Croix de Lorraine commémorative de
Pen-Hir début janvier 2019. 600 m de périmètre de sécurité requis. « Tous
ceux qui se situent à l’intérieur de ce périmètre devront l’avoir évacué
avant 8 h le 29 mars . Les animaux domestiques sont également concernés.
Un accueil sera organisé par la mairie, salle Saint Ives, rue du Loc’h
pour la journée. Les autorités demandent aux personnes concernées par
l’évacuation de se signaler auprès de la mairie de Camaret-sur-Mer si
elles souhaitent bénéficier d’un moyen de transport pour se rendre dans
le lieu d’accueil, de se munir de tout ce qui est indispensable pour la
journée (médicaments, papiers, etc.), de couper le gaz et l’eau, de fermer
les volets, si possible, de leurs domiciles et bâtiments.» Par un procédé
de découpe hydro-abrasive de l’ogive, cette partie qui correspondait à
20% de la capacité de destruction a été pétardée dans un grand vacarme
sur place. Le reste de la bombe américaine a été transporté au large par
hélicoptère et miné par des plongeurs.
• 19 novembre 2019. Pétardage d'un obus de 90 mm dans le sable
de la plage de Morgat côté pointe de Rulianec aux abords de l'ancienne
tourbière. Lors de la seconde guerre mondiale, le calibre 90 mm est essentiellement
utilisé par l'armée américaine sur son char M-26 Pershing ou sur le canon
anti-aérien 90 mm Gun M1. L'explosion a créé un cratère de 2m de profondeur
dans le sable vaseux vite comblé par les marées qui ont suivi.
• 15 septembre 2020. Préparation d'un contre-minage d'une mine
allemande de type Luft Marine Bomb (LMB) de 970 kg dans le port de commerce
de Brest. Equivalent TNT : 815 kg. La plus grosse mine allemande jamais
retrouvée dans la région est en mauvais état et ne peut être déplacée
sur une longue distance. Un plongeur élingue la mine (sanglage) puis elle
est soulevée entre deux eaux à dix mètres de profondeur par des bouées
parachutes vers le large de Plougastel. 360 m de distance de sécurité.
Le pétardage a généré une très haute gerbe d'eau de mer. Avant l'explosion
des mesures d'affarouchement des mamifères marins ont été prises.
• 17 septembre 2020. Découverte de deux bombes britanniques
au large du fort de la Fraternité dans l'anse de Camaret. Elles ont chacune
une charge d'une puissance équivalente à 96 kg de TNT pour un poids unitaire
de 900 kg. Déplacées et détruites ensuite sous l'eau le 14 octobre 2020
après le lancé de quelques pétards pour effrayer la faune aquatique. Ces
deux bombes de rupture servaient à percer les bunkers allemands de la
côte.
• 16 avril 2021. Une bombe de la seconde guerre mondiale est
relevée, déplacée à partir de la côte de Roscanvel / Fraternité et pétardée
à 1800 m plus à l'Ouest dans une zone dédiée après effarouchement de la
faune par signaux sonores.
• 27 janvier 2022. Le Groupe de plongeurs-démineurs (GPD) de
l’Atlantique à bord de la vedette d'intervention pour plongeurs-démineurs
« Liseron » Y 993 (Construction DCN Lorient 1992), sont intervenus pour
déplacer dans un premier temps deux mines anglaises Mark 6 (MK-6 équivalent
à 520 kg de TNT) de la seconde guerre mondiale repérées précédemment au
48° 17' 34'' N 4° 37' 79'' O soit dans le secteur du Grand Gouin en Camaret
pour les pétarder dans le vestibule du Goulet de Brest. Le tout sous la
surveillance de la gendarmerie maritime, d'un hélicoptère de la marine
Alouette III n°302.
• 19 avril 2022. Mine allemande de type Luft Marine Bomb (LMB)
de 970kg dont 815kg d'explosif est pétardée au large de la pointe d'Armorique.
Elle avait été retrouvée à 10 mètres de profondeurs proche du port de
Brest en septembre 2021 par des plongeurs. Le contre-minage a déclenché
un phénomène sismique de magnitude 2,7. Au préalable, effarouchement de
la faune par signaux sonores. Pas de mesure de sécurité à terre. Ce type
de mine est souvent retrouvé dans les estuaires, les entrées de rade.
Liseron.
Déplacement avec ballon entre-deux-eaux.
Selon des estimations, 25% seulement, des munitions et mines historiques ont été contreminées...
Mur de l'Atlantique
Batterie antiaérienne de Cornouaille
Poste de tir des mines de Cornouaille
Batterie antiaérienne pointe des Espagnols Cr332
Batterie antiaérienne de Botsand
Batterie antiaérienne de Kertanguy
Flakartillerie légère et mobile
Détails de mission du bombardement du 3 septembre 1944
Bombardement du 25-26 août 1944
Administration des bombardements
Cr43 Pourjoint ex batterie de rupture
Bunker wellblech - tôle métro Vf1b
Wn Cr323 Batterie antiaérienne Saint Jean
Wn Cr330 Batterie antiaérienne Pont-Scorff
Wn Cr354 Batterie antiaréienne de Trébéron
Wn Cr507 Station radio Kervenguy
Torpedobatterie de Cornouaille
Obstacles anti-débarquement en bois
Le Fret quartier sanitaire allemand
Vedette fluviale - Flugbebriebsboot
Patrouilleur d'avant-poste - Vorpostenboot
Escadrille E6 ou 6e et hydravions Latécoère 521-522-523
Avion fusée Messerschmitt 163 Komet
Stations de radio guidage allemandes
Position d'un projecteur de 60cm Flak-Sw 36
Embase béton de canon Flak 2cm
Une entreprise française participe au Mur de l'Atlantique
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FORTS FORTIFICATIONS BATTERIES DE COTE AVANT 1939
A la une :
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Thévenard à la Pointe du Toulinguet et aux alignements de Lagatjar.
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Pétain à Morgat.
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Céline décroché pour l'oubli !
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Boudin à Camaret-sur-Mer.
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Regelbau
667.
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Anne
Le Bastard de Mesmeur, une religieuse royaliste.
Manoir
de Lescoat des Poulmic aux Bastard !
Les trous
des bonnes-sœurs.
Attaques
des diligences à Crozon !
Le manoir
de Treyer de la famille Le Jar de Clesmeur.
Les intentions du PLUiH
de la presqu'île de Crozon.
Super-Marché
Concorde de Crozon.
La fonte des cloches
sous la Révolution.
La manoir
de Goandour de la famille de Gouandour.
De la place des femmes,
des cigarettes et des cravates dans les conseils municipaux.
Les chantiers Courté.
L'aventure du Centre
Hospitalier.
Les excursions
maritimes pour visiter les grottes de Morgat, toute une histoire.
Les cordages
marins synthétiques la fausse bonne idée.
Abri
de projecteur de DCA français redécouvert à la Pointe des Espagnols.
La batterie
extérieure de la Tour Vauban.
Un rorqual
sans queue ni tête mystérieux.
Usine
abri groupe électrogène de l'armée française de la fin du 19ème siècle.
Faire connaissance avec la limace
rouge.
Rue et impasse du Moulin
Cassé, l'ultime souvenir d'un moulin à vent camarétois.
L'exploitation des roselières pour le chaume
traditionnel.
La corvée de la buée.
La Musaraigne,
une amie du jardinier.
Bunker
634 : un blockhaus à coupole en 4 exemplaires en Roscanvel.
Remorqueur
océanique et manutention d'ancres.
Le bunker
515 neu présent en presqu'île de Crozon.
Un câblier
"français" dans l'anse de Morgat.
Un coup
de vent différemment géré.
Carrière
– Excavation militaire pour l'extraction de matériaux de construction
des batteries de côte.
Des avisos
et des hommages dans le Goulet.
Bâtiments-écoles
type Léopard BE
Le guano
à la loupe.
La grésification
des sables dunaires.
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Le port
du Fret.
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