Les microplastiques de la mer
Au cours d'une tempête, sur les plages de la presqu'île
de Crozon ce sont des millions de bris de plastiques divers de toutes
les couleurs et de toutes les formes qui se sont échoués. Des kilomètres
de plages souillées...
Les billes blanches sont surnommées les "larmes de sirène" et
proviennent de l'industrie de plasturgie afin de fabriquer des bouchons
de bouteilles. La probabilité d'une perte de contenu de containeur est
retenue. Suite à la tempête Gérard de janvier 2023, une partie du littoral
s'est vu gratifié de millions de "larmes de sirène". Un record
de volume pour un fait qui se répète de plus en plus souvent.
Les microplastiques dans l'eau de mer sont une réalité
à laquelle nos yeux ne prêtent pas attention parce qu'ils ne nous dérangent
pas plus que cela et que le littoral maritime les disperse discrètement
dans le sable. Un grand fût en plastique dont la vue nous indispose est
pourtant moins polluant à la condition qu'il reste en état. Certains jours,
ces micro-plastiques constituent une part importante des laisses de mer
qui sont aussi un écosystème.
Un microplastique est tout simplement un petit fragment de plastique provenant
d'un emballage
de nos produits de consommation, provenant aussi de l'activité de la pêche...
Ce bris en cours de désintégration mais non de disparition est souvent
attractif visuellement pour la faune maritime qui pense se nourrir. Les
estomacs ne digèrent pas le plastique, le poisson, la tortue, peuvent
mourir affamés ou suite à des lésions internes.
La dénomination macroplastique existe et désigne inversement
des objets entiers de tailles courantes : chaussure, bouteille...
Après le stade de microplastique, vient celui de nanoplastique après l'abrasion
dans le milieu marin. Devenu particule, le plastique est ingéré par de
petits animaux qui entre dans la chaîne alimentaire des poissons consommés
par l'homme au final. Retour à l'envoyeur.
L'environnement dans tous ses états
Les carrières de sable de Kersiguenou
Les oiseaux font les poubelles : plasticose
Fauchage des prunelliers et polystyrène
Panneaux polluants pour défendre l'environnement
Les objets de consommation de la mer
Pour ou contre les poubelles de plage
Pollution des eaux de ruissellement
Risque de pollution bactériologique
Qualité des eaux de la Rade de Brest
L'usine de Poraon - eau potable
L'assainissement sous surveillance préfectorale
Antenne relais et environnement
Dunes domaniales de Dinan Lestneven
Zones basses littorales - submersions marines - inondations
Législation de l'érosion du trait de côte
La pollution du transport aérien
L'algue rouge - eutrophisation
Mer rouge jaune - Ceratium lineatum
Sécheresse : restrictions d'eau
Sécheresse : conséquence sur la nature
Fort
heureusement, la Vipère péliade
est peureuse – Madame est-elle une oie
blanche de l'antiquité, du 17ème ou du 19ème siècle ? – Batterie
de Bégéozû – Batterie
de l'Eglise – Strate
géologique symbole du temps qui passe – Le temps révolu des bouées
métalliques – Vestiges
non identifiés – Bénédiction
de la mer née de l'angoisse – Les passages des "Hermione"
dans le Goulet – Les ordonnances
Sperrle et Keitel autorisations des crimes – Le potager
du curé de Roscanvel – Contrôle de la ressource
halieutique – Acidalie
retournée – Une chenille
ravageuse – Lithosie
déprimée au repos – Les oiseaux font les poubelles : plasticose
– Malédiction ou bienveillance de la chouette
? – Ports
de pêche de la presqu'île de Crozon – Drapeau
en berne – Le coq
de clocher de Léon IV – 2 Toussaint
Le Garrec méritants – Un commerce
comme avant ! Chantier
naval Péron en déconstruction – Ecole
maternelle Louise Michel, un indice inquiétant – Des hélicoptères
intérimaires ?
Recherches
• PROPOSER UN VESTIGE NON IDENTIFIE. Contribuer à la mise en évidence du patrimoine.
