Côté pompe :
CCM Sulzer - Maison Sulzer frères et Paris - Compagnie de construction
mécanique procédés Sulzer - Usines à Saint-Denis - Société anonyme française,
constituée le 22 décembre 1917, pour une durée de 99 ans.
Fabrication, construction, installation de tout matériel mécanique - moteurs
de locomotive entre autre. Adresse : 19 rue Cognac-Jay, 75007 Paris. Tél.
: INV. 50-60.
Capital social : 20 millions de francs, divisé en 50.000 actions de 400
francs, dont 25.000 de priorité 6 % cumulatives et 25.000 ordinaires.
A l'origine, 10 millions de francs, divisé en 10.000 actions de 1.000
francs, porté en 1920 à 15 millions de francs, en 1921 à 25 millions ;
ramené en 1923 à 10 millions par la réduction de la valeur nominale des
actions de 1.000 francs à 400 francs, porté ensuite à 15 millions par
la création de 12.500 actions de priorité 6 % cumulatives, puis à 20 millions
par l'émission au pair de 12.500 actions de priorité.
Conseil : Société Anonyme des Mines et Fonderies de Pontgibaud, Président
; Compagnie des Forges et Aciéries de la Marine et d’Homécourt, Société
Anonyme Sulzer Frères, V.P. ; M. Paul Henri Ziegler, Ad.Dir., Sté An.
des Aciéries de Micheville, Société Anonyme des Hauts-Fourneaux et Fonderies
de Pont-à-Mousson, MM. Henri Wolfer, Sulzer, Gaston Gaston-Breton, Werner
Herold, Robert Sulzer. Commissaires des comptes : G. Noyau, L. Ravier.
Service financier : Banque des Pays du Nord, Société Générale, Société
Nancéenne.
Côté moteur électrique :
Alsthom Belfort - Création en 1928 - société de construction électromécanique
née de la fusion de la Compagnie Française Thomson-Houston et de la société
Alsacienne de Construction Mécanique - Devient Alstom en 1997.
Moteur asynchrone : moteur électrique à courant alternatif sans connexion
entre le stator et le rotor.
Station de pompage locale de 1951.
L'eau pompée en sous-sol est envoyée à une station réservoir élevée distante afin d'être redistribuée soit pour un usage agricole, soit pour un usage domestique, voire les deux.
La presqu'île de Crozon a connu une très lente et fastidieuse évolution dans le domaine de l'alimentation en eau potable des fermes, des hameaux et des communes dans leur ensemble. De la source où il fallait plonger le seau, au puits cloche guère plus aisé pour les femmes qui étaient de corvée d'eau, on passa par la pompe à bras. La diffusion de l'eau courante par canalisation souterraine s'est faite d'abord partout où il y avait une certaine concentration de population et encore, en terrain plat essentiellement. Ensuite, le réseau s'étendit progressivement.